Loin du sunlight des tropiques, Sekoya s’est trouvé 2 écrins de verdure pour répéter :
le 1er au bout d’un long chemin serpentant dans les bois et menant à la Marne,
le 2nd entouré d’un mur de pierres en ruine et de vieux chênes.
Des espaces emplis de sérénité, propices au travail et offrant cette liberté propre à la nature.
Des alcôves au sein desquelles le vent participait également aux répétitions en jouant sur les mains, la peau et les cheveux des danseuses tandis que les tambours distillaient dans leurs veines les vibrations et l’énergie des rythmes mandingues.
Le soleil aussi fut de la partie puisqu’il éclaira d’une lumière ardente et aveuglante tel un projecteur, notre scène éphémère, tandis que la nuit abaissa le rideau, sonnant la fin des répétitions et engendrant un rangement à la frontale et aux lumières des téléphones portables tels des lucioles réincarnés!
Ainsi, pendant tout l’été, Sekoya a chanté et fait résonner les tambours puis a rendu hommage à cette nature accueillante avec Waraba :
ainsi que par une presta de folie à Lagny sur Marne!
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